Galerie de l'évolution : Les animaux en voie de disparition

Jeudi dernier, nous nous sommes retrouvés au musée de l'Evolution, bâtiment se situant dans un coin du Jardin des plantes. Ce musée est passionnant et a réveillé en moi des souvenirs du biochimiste que j'étais.

 

En effet, après un sous-sol sur le monde marin où l'on peut, entre autres, admirer un calmar géant digne d'un roman de Jules Verne, puis un rez-de-chaussée où l'on retrouve les animaux que nous avons vu au Kruger l'année dernière, nous enchaînons sur une salle effrayante autant que passionnante que nous aurions bien pu oublier sans les conseils avisés du gardien de la salle.







Wheke le Calmar

Cette salle, située au premier étage, à droite, est celle qui regroupe des spécimens empaillés (comme presque tous ici), d'animaux dont l'espèce est éteinte ou en danger d'extinction.

C'est une salle oscure et close, dont l'éclairage est tamisé et l'atmosphère climatisé afin de ne pas abîmer les animaux.

A l'instar de Diego, je me retrouve ainsi à m'approcher des étranges animaux et d'en lire la plaque avec hantise .... a-t-il disparu ? ... non, il est en danger ... ouf !!




Et celui-là ? ... ETEINT ... oh non !!! J'aurais tellement aimé le voir en vie !!
On y trouve le Loup de France, le aye-aye ou encore le Diable de Tazmanie dans les espèces en danger ... et Diego de reprendre de plus belle : Je veux aller en Tazmanie !!!

Bref, sorties époustouflés de cette salle nous enchaînons sur le dernier étage en vitesse avant la fermeture.

aye-aye


Et là, encore quelques surprises et interrogations.

La comparaison de différents spécimens d'une espèce montrant leurs différences (5 aigles différents mas pareil).
L'étude biochimique de l'ADN et la biologie moléculaire comme moteur d'étude ultime du monde animal !

ADN

Bref, il faudrait y retourner pour finir.

En tout cas, nous conseillons vivement.